L’église Saint-Eloi

                                          paroisse de Flastroff

Eglise de Flastroff

Eglise Saint Eloi de Flastroff

L’église paroissiale néo-gothique Saint-Éloi a remplacé la chapelle Saint-Éloi avec ermitage datant du milieu du XVIII eme siècle. L’église actuelle fut reconstruite de 1858 à 1866. La première pierre fut posée en 1861 et la consécration eut lieu le 3 juillet 1865 (but d’un pèlerinage au cours duquel se faisait la bénédiction des chevaux, aujourd’hui des tracteurs agricoles).

 « Elle apparaît au loin comme la cité de Dieu posée sur le roc, à travers la beauté du paysage l’idée mystique du temple divin se fait jour, l’esprit se recueille et  l’âme s’élance vers le ciel à la suite de cette flèche où brille le signe  du salut »

Abbé Curicque 1827-1892

.

..

.

Gravure extraite de : « Saint Éloi et le pèlerinage des chevaux, de Flastroff en Lorraine »

 par Auriscote de Lazarque (Metz 1888)

img091

Dés la fin du XII ème siècle, des textes attestent l’existence d’une chapelle sur la colline du « Tollesberg ». Cette chapelle aurait été construite par Adélaïde de Tincray qui en fit don aux Augustins de l’abbaye de Sprenkirbach. Elle fut ensuite donnée aux Prémontrés de Wadgassen et dans la charte il est fait mention d’une chapelle à Flastroff avec les dépendances et une demi-manse.

Une visite canonique effectuée en 1760 fait état d’un ermite gardien d’un édifice qui faisait l’objet déjà depuis longtemps d’un pèlerinage en l’honneur de saint Éloi.

Dans son compte-rendu du 5 octobre 1783, l’évêque  Jean Marie Cochot d’Herbain,  en visite dans la paroisse de Neunkirchen,  fait mention sur la filiale de Flastroff :  de 36 habitants et d’une chapelle avec trois autels consacrés, le maître autel est dédié à saint Éloi, un des autels latéraux est dédié à la sainte Vierge et le second à sainte Hélène.

En juin 1858 Flastroff, ancienne filiale de la paroisse de Neunkirchen les Bouzonville, est érigé en chapelle vicariale avec un vicaire résident.

La commune ayant pourvu au presbytère, un bâtiment  neuf avec jardin, aux ornements, linges et ameublements de la chapelle,  il ne restait plus qu’ à trouver un titulaire pour cette jeune paroisse (délibération  du conseil de la commune en date du 8 octobre 1858)

Une délégation de quelques hommes, maire en tête se présenta au presbytère de Buding et demanda à l’abbé Curicque d’accepter de desservir leur village et d’y bâtir une nouvelle église.

L’évêque du diocèse ayant accordé son consentement, la  nomination eut lieu en date du 5 mai 1859.

Dés la fin de 1859,   l’abbé Curicque  établit un rapport  sur l’état ruineux de la chapelle  ainsi que sur son exiguïté ( la population officielle de Flastroff -Zeurange étant de 548 âmes dont au moins 400 communiants et 95 écoliers) . Au printemps 1861, une brèche s’ouvrit d’elle-même sous les combles de la nef, ce qui ne laissa aucun doute sur la nécessité de construire cette nouvelle église.

L’abbé Curicque en conçut les plans  et en confia la réalisation à  l’architecte messin Claude  Jacquemin  ( église gothique de  style XIII ème siècle, avec, à l’entrée est une tour accompagnée de deux tourelles)…

Dans une délibération, M. Hissel  maire,   souligne que malgré les ressources restreintes de la commune et sans se lancer dans une construction monumentale,  il est néanmoins tenu de donner un certain cachet  à l’église, autant par convenance religieuse  eu égard au pèlerinage de saint Éloi qui se fait depuis des temps immémoriaux , que par amour national puisque la commune de Flastroff est située à la frontière avec l’Allemagne…

halstroffLe choix de l’emplacement de cette nouvelle église s’imposa. Bien des gens auraient  voulu  la construire  sur le versant opposé entre Flastroff et Zeurange. Mais comme le prévoit le droit canon c’est l’évêque qui trancha.

L’église sera reconstruite à l’emplacement de l’ancienne chapelle et orientée vers le point correspondant au lever du soleil le 21 juin, jour du pèlerinage.

Pour construire cette église  que tout le monde désirait, il fallait trouver les moyens. Le devis s’élevait à la somme de  27 950 frs. avec le clocher.

La construction commença le 3 juin 1861 et le lundi 10 juin 1861, Mgr Dupont des Loges, évêque de Metz vint bénir la pose  de la première pierre. Les travaux de construction durèrent 4 ans.

Des matériaux provenant de  l’ancienne chapelle purent être réemployés et afin d’économiser encore de l’argent, le maire proposa que l’entrepreneur  chargé de la maçonnerie  Pierre Scherer de Waldweistroff,  jouisse de la faculté d’extraire la pierre à bâtir sur tout le parcours du ban de la commune ( les propriétaires des terrains seront indemnisés selon la valeur des pierres et des dommages causés aux sillons).

L’abbé Curicque fit du porte à porte en quête de main d’œuvre et de charretiers bénévoles.

Les recettes réalisées par la commune s’élevaient de la manière suivante :

-1° produit de quart de réserve vendu le 4 octobre:  8300frs

-2° du quart de produit en réserve vendu dans l’année: 7800 frs

-3° souscriptions volontaires: 6800frs

Matériaux utilisés:

-Moellons du pays

-Pierre de taille de Grosshemmesdorff

-Chaux de Neunkirchen
-Sable de la carrière d’Itzbach

-Couverture en ardoise d’Herbemont

-Lattis en sapin..

Salaire  journalier

-Un ouvrier de 1ère classe gagne 3 frs

– de 2ème classe 2,50frs

de 3ème classe 2frs

et un manœuvre 1,50frs.

Le sol du côté sud étant trop tendre des fondations plus profondes durent  être faites.

Pendant deux ans l’abbé Curicque célébra la messe au presbytère. L’église fut ouverte au culte le mercredi 25 juin 1862,  premier jour de l’Adoration perpétuelle et communion solennelle.

Mgr Dupont des Loges, en tournée de confirmation, vint consacrer l’église le lundi 3 juillet 1865.

Fin 1866,   la construction avait englouti la somme de 38 000 francs-or.

L’abbé Curicque aurait voulu placer la nouvelle église sous le patronage de la sainte Vierge. Mais la population et l’évêché s’y refusèrent. Cette décision sauva de la disparition l’ancien pèlerinage en l’honneur du saint patron.

Le samedi 12 février 1870 Flastroff est érigé en paroisse, succursale de l’archiprêtré de Sierck les Bains.

L’église ayant été agrandie, l’ancien cimetière (établi légalement en 1839 ) réduit de 1/3 , la commune a projeté  cet agrandissement de manière à ce que le nouvel édifice se trouve au centre.

halstroff-002

.

.

.

1992 :Vitrail réalisé par l’entreprise Salmon de Woippy lors du centenaire de la mort de l’abbé Jean Jules Marie Reginald  Curicque

1111

Intérieur  de l’église lors de l’Adoration perpétuelle de 1956

 1865 : Lors de la destruction de la chapelle,  la petite cloche de celle-ci fut prêtée  pour 100 ans  au pensionnat de Rustroff. Cette cloche avait été fondue en 1788 par les frères Duvivier de Metz  à la diligence du frère Antoine Payen  et bénite par Nicolas Egloff, curé de Neunkirchen  dont Flastroff dépendait alors. Cette cloche fut restituée au village en 1965 : sur cette cloche est gravée une représentation du Christ en croix, de la sainte Vierge et de saint Éloi.

Aménagement intérieur de l’église en quelques dates:

1862 :  Achèvement du maître-autel selon le dessin de l’architecte Jacquemin

1863 :  Achat des  vitraux ( payés grâce à des dons et  à la vente du livre «  L’histoire de Marguerite de Bavière » dont l’ abbé Curicque était l’auteur)

1867 : Achat des bancs de l’église (en 1879 il y avait 279 places)

1879 : Bénédiction d’un chemin de croix  d’une valeur de 2800 frs offert par mademoiselle Hentinger Marie

1887 : Acquisition des retables des deux autels collatéraux (achevés en 1888,  fournis et posés par l’architecte Claude Jacquemin) )

1868 : Une souscription est lancée pour pour l’achat d’une chaire à prêche

1896 : Achat d’un harmonium

1896 : Achat d’un haut relief en terre cuite

1897 : M. H. Jolivald de Haute-Sierck érige une tribune

1903 : Installation de trois nouvelles cloches

1923: Installation de trois nouvelles cloches

1931 : Électrification de l’église

1935 : Achat d’un orgue chez Vondrasek facteur d’orgue à Sarre -Union

1948 : Achat de deux nouvelles cloches en remplacement de celles  confisquées par les Allemands en 1944

2003 : Réfection du sol de l’église (carrelage acquis chez Villeroy et Boch en  Allemagne)

et des bancs de l’église ( travaux effectués par M. Vellinger  René, menuisier à Flastroff).

 Saint Éloi

Orfèvre, conseiller royal, évêque

Saint Éloi est le saint patron de l’église de Flastroff. On le fête le  25 juin  (date de l’anniversaire de la translation de ses reliques)  et le 1er décembre ( date de sa mort en 659)

 111Si le livre ouvert est celui du savoir, de la quantité et du mesurable,le livre fermé tenu par saint Éloi ( marqué du signe de la croix) signifie qu’il a atteint la connaissance. A ses pieds se tient le cheval dompté pour symboliser qu’il est nécessaire de discipliner sa fougue et de se rendre docile à l’enseignement sacré.

Une statue identique (excepté la tête du cheval) nous accueille en haut du porche, saint Éloi la main levée  accordant sa bénédiction. Dans l’ancienne chapelle,  sur le maître-autel, à l’arrière du tabernacle se dressait une statue de saint Éloi devant laquelle un ange agenouillé présentait au saint un pied de cheval à bénir. Cette statue a disparu avec la chapelle.

Chaque année,  le 25 juin avait lieu le pèlerinage des chevaux : chevaux  malades ou vicieux dont l’intercession du saint devait obtenir la guérison ou l’amendement, chevaux bien portants que sa bénédiction devait préserver d’accidents ou de maladies. De nombreux cultivateurs et d’autres personnes s’y rendaient à pied conduisant leurs bêtes et priant dévotement tout au long de la route. Les pèlerins  venaient des villages avoisinants et même des pays limitrophes. Ceux qui ne pouvaient  amener leur cheveux  avaient eu soin de se munir d’une poignée de crin  pris à la queue de  chevaux malades et participaient  à la procession en tenant cette offrande à la main  et la déposaient ensuite sur les marches de l’autel. Cette offrande  était consacrée à l’entretien de l’église et à payer le service du jour .

Vente du crin offert pendant la messe du 25 juin  lors de la bénédiction des  chevaux

-en 1859 :  17 kg de crins sont vendus à raison de 4,20 frs/kg

-en 1861 :  18 kg sont vendus à 2,50frs/kg

-en 1862 :  22,5 kg/ sont vendus au même prix

img094

Cette bénédiction se faisait selon un rite bien précis,  rite qui  disparut peu à peu. 

Cette tradition se perpétue encore aujourd’hui, mais les chevaux de labour sont remplacés par des chevaux-vapeur.

 img095

 Bénédiction des chevaux  par l’abbé Carl , à ses cotés  Kiren Jean (organiste)

 dsc_0018

 2016 :   bénédiction des tracteurs par Denis Velfert

 Le culte de saint Éloi

 img092

 Haut relief en terre cuite portant l’inscription Christliche Kunstanstalt Bochum…..1896

Saint Éloi possédait un cheval d’une douceur remarquable. Après sa mort, le cheval échut à l’abbé qui gouvernait son église. Mais Momelin, évêque de Noyon, l’enleva à celui-ci, car il se considérait comme  en étant le propriétaire. L’abbé n’osa point faire d’opposition directe, et il eut recours à saint Éloi.

Le cheval ne fut pas plus tôt mis à la  disposition de l’évêque qu’il souffrit  d’un mal aux pieds,  le reste du corps s’affaiblit et l’on vit l’animal dépérir.

L’évêque alors appela un homme expert dans  l’art de traiter les chevaux, et il lui ordonna d’employer toute sa science pour le guérir. Quoiqu’il n’eut rien négligé, ses remèdes furent inutiles. Au contraire lorsqu’on s’approchait de la bête, devenue sauvage en quelque sorte, elle se cabrait,  lançait des ruades et cherchait à déchirer l’homme qui la soignait.

Déjà plusieurs jours s’étaient écoulés sans qu’aucune amélioration se fit apercevoir ; l’évêque craignant de perdre  le cheval s’il le conservait dans ce dangereux état, le donna à une dame de sa connaissance qui le fit traiter avec beaucoup de soin. Elle  le monta un jour pour faire un voyage ; mais il se mit à frémir et à ruer d’une telle   force   qu’il la jeta par terre. La chute fut si grave qu’elle en garda le lit presque toute une année. Cette femme se voyant en proie à de grandes souffrances, renvoya le  cheval à l’évêque  avec des reproches au lieu d’actions de grâce pour ce présent. Le prélat fit à nouveau soigner le cheval ; mais ce fut en vain ;  plus au contraire,  on employait des remèdes, plus le mal s’aggravait. Enfin, un prêtre, animé d’un bon esprit religieux, dit à l’évêque par manière de conseil  que puisque ce cheval ne pouvait en rien lui servir, il ferait bien de le rendre à l’abbé auquel il l’avait pris. L’évêque se rendit à cet  avis et, peu de jours après,  le cheval  fut guéri, redevint doux et conserva toute sa beauté sous le pouvoir de cet abbé.

On s’explique que le peuple connaissant cette légende et y supposant, d’autre part, l’intervention de saint Éloi, n’ait point tardé à invoquer le saint pour en obtenir qu’il protégeât les chevaux.

Extrait de Saint Éloi par Paul Parsy

                                         (extrait du livre L’EGLISE de Flastroff Au fil du temps par Éliane Becker)


Chapelle Saint-Gall de Zeurange

 

Zeurange Chapelle Saint Gall : paroisse de Flastroff

Chapelle Saint Gall de Zeurange

La chapelle de Zeurange, construite en 1887, a été bénie le jeudi 4 octobre 1888. La bénédiction eut lieu pendant l’apostolat de Michel Benoît Mauss, premier desservant de la paroisse de Flastroff depuis le 12 février 1870. Elle remplace une ancienne chapelle datant au moins de 1723, (une cloche portait la date 1723). Seule reste la base du clocher primitif situé dans l’angle formé par la nef et le chœur du côté droit où elle constitue la sacristie. La chapelle, de style gothique à lancettes, se compose d’un porche fermé, genre de mini narthex, d’une nef et d’un chœur à pans coupés. La construction de ce sanctuaire a coûté 9000 marks. Elle est dédiée à Saint Gall depuis 1782. L’autel d’une beauté exceptionnelle pour une chapelle est de style ogival. A Zeurange en l’honneur de Saint Gall le 16 octobre contre les maladies des vaches, autrefois on donnait une motte de beurre laquelle est remplacée actuellement par de l’argent.
Sources : Michel GREGOIRE «JOURNAL DE SIERCK » Mercredi 21 mai 1924.

La flèche du clocher, renouvelée, abrite deux cloches : la Saint Gall qui sonne le Do #, pèse 235 kg pour un diamètre de 70 cm, et la petite sans nom, d’une masse de 97 kg pour un diamètre de 55 cm, qui sonne le Mi. Celle-ci remplace la vieille cloche de 1723 qui avait été brisée; on eut soin d’y reproduire, à côté des parrains de la nouvelle, l’inscription qu’on lisait sur l’ancienne.

Huit très beaux vitraux payés par les Zeurangeois ont été posés en janvier 1953 ; ils représentent Saint Pierre et Saint Jean l’évangéliste dans le chœur, Notre Dame de Fatima, Sainte Barbe, et Sainte Monique côté gauche et Saint Jean Bosco, Saint Antoine et le Pape Pie X côté droit

Sous le régime royaliste, selon les dires des anciens, au printemps par clair de lune les habitants de Zeurange durent aller à Bourg—Esch munis de longues perches pour empêcher les grenouilles de coasser, qui pullulaient dans le plan d’eau entourant cette bâtisse, pour que le seigneur de Bourg-Esch puisse passer une agréable nuit dans le silence le plus total dans les bras de Morphée.

Nous soussignés habitants de Zeurange, annexe de Flastroff, déclarons et affirmons par les présentes que nous souscrivons de plein gré et de notre
mouvement à la vente irrévocable de la majeure partie de nos biens communaux partagés ou non partagés devant donner une somme d’au moins douze mille
francs à effectuer exclusivement à la construction de l’église de Flastroff.
Noms, métiers et signatures de 56 personnes habitant à Zeurange.
Clos et arrêté à Flastroff le 23 février 1860.
A certifié exact par nous maire de Flastroff. Antoine HISSEL.
Sources.  Archives départementales de la Moselle.

Le 15 avril 1841 naquit à Zeurange Angélique Mathis, fille de Pierre et de Suzanne Ludwig. Dès son plus jeune âge, on imagine aisément Angélique
se diriger vers la chapelle du village, afin de se recueillir en prières et en méditations. Le père spirituel d’Angélique était l’abbé Jean Michel Curicque, 1er vicaire résidant à Flastroff. Pour Angélique la formation religieuse et théologique débuta au Monastère de Langeac en Haute-Loire, l’un des plus anciens monastères des moniales dominicaines de France. Le vœu le plus cher de la novice zeurangeoise a été celui de pouvoir établir un monastère identique en Moselle. Aussi le 17 avril 1875, et sur les conseils de Mgr François-Louis Fleck, évêque de Metz, elle se fixa à Rettel les Sierck, où elle prononça ses vœux perpétuels le 5 juin 1894. Elle prit alors le nom de SŒUR MARIE AGNES DES CINQ PLAIES. Elle sauva des ruines l’ancienne abbaye bénédictine, appelée la « Chartreuse », en y fondant un couvent de contemplatives, dont elle devint la prieure générale. Le 26 septembre 1911, elle quitte ce monde pour rejoindre le Seigneur, non sans avoir été à la base de la création préalable de quatre autres maisons filiales. Elle laissa derrière elle, en pleine prospérité, le couvent de Rettel, où elle a été inhumée.
Sources : E. HAAS « L’AMI DES FOYERS CHRETIENS » 30juin 1991.

L’abbé Pierre Ludwig, né le 10 février 1900 à Zeurange, ordonné prêtre le l3 juillet 1924 à la cathédrale de Metz, vicaire à Nilvange, curé de Vaxy , curé de Tromborn, administrateur de Varise, curé de Monneren, décéda à Monneren le 26 janvier 1951, inhumé au cimetière de Monneren.


Statue de Saint Gall

La chapelle de Zeurange (paroisse de Flastroff) est dédiée à Saint Gall depuis plus de 130 ans.
En 1948 une cloche a été installée dans son clocher.

Longtemps, le saint patron de cette chapelle n’y avait pas sa statue! Ce tort est réparé depuis 2011 grâce à la persévérance du conseil de fabrique et à la générosité de la population de Zeurange. La statue de Saint Gall qui trône aujourd’hui dans la chapelle a vu le jour sous les coups de maillet de l’artiste Sylvain Divo de Kerling-lès-Sierck.

La statue mesure 1,30m, elle a été réalisé en tilleul polychrome.

Cette statue a servi de modèle pour le logo de notre site Internet.

Un grand merci à la population de Zeurange et félicitations à l’artiste.